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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 12:23

numerisation0011.jpg   jeudi 3 mars 2011.                                                                       article var matin le 12 avril 1997.

 vous ouvrais la porte d'entrée au cabinet de Maître Philippe CAMPS (le Portalis 505, Avenue de Rome 83500 la

SEYNE SUR MER) E Mail : philippe.camps@wanadoo.fr Avocats au Barreau de Toulon et de Maître Laurie FRANCHITTO

également au Barreau de Toulon et de la secrétaire vous n'avais pus envie de par tire tellement que l'acceuil est sincére .

 

Pour nous, Victime du Génocide de l'hépatite C,Non A Non B avant 1989 c'est très important,car quand nous informons que

nous somme porteur de l'hépatite C, la discussion deviens moins sociable °encore aujourd'hui° ceci par  manque d'inform-

ation envers la communication ( presse et télévision). Nous le savons très bien que le gouvernement de gauche comme de droite fait la sourde oreille depuis 1993 car se sont les seules responsables de ce Génocide à la seringue, se qui est différent pour le °médiator°, il suffis d'écouter xavier bertrand pour l'indemnisation des malades, comme je l'ai déjà écrit dans les articles, la le gouvernement ne se sans pas responsable (pas coupable..!) mais pour reconnaître une responsa -bilitée et indemniser les Victimes du Génocide de l'hépatite C NON A NON B à qui l'on a détruit avant 1990 les dossiers

médicaux pour  que ces Victimes ne peuvent prouver leur contamination, alors ils se trouvent débouté par une parodie de petit juge qui ne suive pas le rapport  de l'expert médical, même ci celui-ci est un professeur.

 

Un avocat toulonnais Maître phlippe Camps défend les dossiers déposés par les adhérents de l'Association de défense des

Victimes Hépatite C suite à une contamination de la transfusion sanguine. présidée par Christian Gaudry. Me Camps

évoque le cruel parcours du combattant judiciaire que doivent accomplir ces Victimes, souvent atteintes d'un mal incurable.

 

Var Matin: Combien de Victimes de Transfusions aujourd'hui en France?

 

Pilippe Camps: Environ 600.000 détectées, soit 1% de la population française. Mais ce chiffre déjà énorme, ne va pas

cesser de monter pour atteindre environ 2% de la population d'ici l'an 2.000 car on continue aujourd'hui encore à  s'empoisonner parfois en recevant du sang.

C'est vous dire l'importance de ce problème. Un problème d'autant plus terrible que le tiers au moins des Victimes

concernées sont déjà décédé et bien d'autres vont hélas mourir dans un délai plus ou moins rapproché.

 

Var Matin: Le-scandale du sang contaminé ne se limite donc pas aux hémophiles touchés par le Sida?

 

P.C. Non et nous nous occupons surtout des dossiers des Victimes atteints par l'hépatite C qui développent ensuite de

multiples maladies opportunistes car en fait, comme avec le V.I.H.? les Victimes souffrent d'un effondrement du système

immunitaire. Leur situation sociale apparaît d'ailleurs encore plus tragique, car l'état se refuse à leur accorder ce qu'il a

fini par consentir aux Sidéens, à savoir un fonds d'indemnisation. Les adhérants de l'Association sont donc contraints de se

battre individuellement devant les tribunaux pour obtenir des indemnités.

 

Var Matin: Et un procès n'est jamais gagné d'avance....

 

P C. Oh non ! D'abord les procédures sont très longues, ensuite nous n'avons pas toujours devant nous des interlocuteurs

solvables ni loyaux. Je m'explique. Une Victime contaminé doit établir la provenance précises des poches de sang reçues

et apporter la preuve qu'il a bien été contaminé dans tel ou tel établissement hospitalier ou clinique. Niant l'évidence,

certains des représentants des dits établissements essaient de faire croire que la Victime a pu être aussi bien contaminé à

la faveur d'un simple examen médical comme une coloscopie par exemple. Il faut batailler parfois dur pour convaincre les

juges du tribunal civil ou administratif ayant à connaître du dossier. Je vous passe les détails.

 

Pire encore : les petits centres de transfusion que nous faisons citer comme fournisseurs de produits défectueux- c'est la

formule consacrée- N'EXISTENT PLUS ET LEURS ARCHIVES ONT DISPARU. OU ALORS LITTERALEMENT  RUINES.

 Il sont en bagarre avec les assureurs qui dénoncent les contrats passés avec eux et qui donc ne paient plus. 

 

Var Matin : Ainsi, même s'il a  pu établir formellement comment il a été contaminé, une Victime peut ne rien obtenir ?

 

P.C. HELAS OUI. Le parcours du combattant ne fait souvent que commencer et c'est odieux. Or certains n'ont plus de force, leur état de santé les empêche de travailler. Il se trouvent donc à la fois gravement malade, privés d'emploi et dans

la misère. La seule manière d'en sortir c'est d'obtenir ce fameux fonds d'indemnisation. Mais l'Etat paraît mal disposé. D'où

la nécessité pour l'Association d'engager au niveau national une véritable épreuve de force.

 

Ch Gaudry.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 10:39

                                            

 

                                                    Hépatite C : Cri d'alarme des experts.

 

Entre 275.000 et 486.000 Victimes- les trois-quarts des porteurs du virus de l'hépatite C en France- ignorent leur état et ne sont donc pas soignées, alors que les experts recommande de traiter °sans attendre l'apparition de lésion sévères et

irréversible.

 

Depuis la mise au point d'un test de dépistage de la maladie, au début des années 1990, le ministère de la Santé a insisté à plusieurs reprises sur la nécessité de rechercher les Victimes Transfusées et de leur proposer un dépistage. Mais à ce jour, l'impact de ces mesures demeure ° inconnu°, constatent les chercheurs de l'unité 444 de l'INSERM dans une étude publiée

dans le Bulletin Épidémiologie hebdomadaire (BEH) du ministère de la Santé. Selon le ministère de la Santé, en janvier dernier ° moins de 50.000 Victimes° étaient soignées.

 

Le fait que la plupart des personnes atteintes ignorent la présence du virus dans leur organisme ne constitue pas un grand risque pour leur entourage car ° heureusement ° la transmission sexuelle de l'hépatite C'est très faible ° a indiqué hier Véronique Massari, l' épidémiologiste qui a dirigé cette étude.

 

Son équipe a interrogé quelque 400 médecins généralistes répartis sur l'ensemble du territoire qui servent de sentinelle aux

 épidémiologiste. Ces médecins, volontaires et bénévoles signalent la progression de Victimes comme la grippe, les hépatites,les oreillons ou la varicelle.

 

Particulièrement concernés donc ce qui peut quelque fois fausser les résultats de l'étude, ces médecins sentinelles ont été

70% à prescrire au moins un test de dépistage de l'hépatite C en cours d'année. Ceux qui n'en ont pas prescrit ont invoqué

une absence de patients présumés à risque dans leur clientèle, 92% une mauvaise connaissance des facteurs de risque 14%, l'absence de traitement curatif 7% le prix élevé et le non remboursement du test 6% son caractère trop récent 4% et

enfin, son manque de fiabilité et sa difficulté d'interprétation 1%.

 

Dépistage: Dans 84%  des cas, c'est le médecin et non le patient qui prend l'initiative du dépistage. Dans un peu plus de la moitié des cas 55% , les patients présentaient des signes biologiques ou clinique suggérant une atteinte hépatique.

 

Dans les 45% restant, le test a été proposé en raison de l'existence d'un facteur de risque : antécédent de transfusion,

usage de drogue par injection intraveineuse, présence d'un cas dans la famille...Dans le premier groupe, 41% des patient

se sont révélés porteurs du virus, 28% dans le second.

 

Pour contrer la propagation de l'hépatite C, très importante parmi les toxicomanes puisque 70% de ceux qui se droguent

par voie veineuse seraient infecté par le virus. Les experts souhaitent voir renforcer le dispositif de mise à disposition de

seringues.

 

Quand au dépistage, ils ont estimé il y a quelques mois qu'il devait être proposé aux personnes ayant des antécédents

d'anesthésie générale, de biopsie ou de tout autre geste médical identifié comme possiblement contaminant aux perso-

nnes transfusés, aux toxicomanes et aux détenus. Et l'ancien secrétaire  d' Ëtat à la Santé Hervé Gaymard s'est rangé à

leur avis.

 

Les Sources de contamination:

 

Les transfusions réalisées avant 1990- date d'apparition des premiers test permettant de repérer le virus de l'hépatite C

(H.C.V.) dans les don sanguins représentent 37% du total des contaminations. Depuis l'introduction de ces tests, le

° risque résiduel ° de contamination est estimé à un cas pour 250.000 Victimes transfusés, selon le Pr Jean- François

Girard, directeur général de la Santé. Les autres sources importantes de contamination sont la toxicomanie 23% des cas,

les contaminations de cause inconnue 20,04% et les infections contractées à l'hôpital 14,9% par défaut d'hygiène. Les

experts recommandent une plus grande vigilance, notammentune désinfection sérieuse des instruments utilisés lors d'examens endoscopiques et chirurgicaux.

A cetteliste, il faudrait aussi ajouter les personnes transfusées hors de France et les hémodyalisés a précisé hier Véronique Massari, qui a mené l'étude auprès des généralistes.

 

Christian Gaudry.

 

 

mercredi 2 mars 2011.

 

Hollande en visite à Toulon. Il effectue de nombreux déplacement pour les cantonales, car il est sollicité par les candidats socialiste.

 

Comment ce personnage peut-il encore être dans la politique, alors que dans sa bouche, il ne sort que des mensonges

(remarqué il n'est pas le seule, à gauche comme à droite ).

 

Pour le premier ministre jospin avril 2002: à décider d'indemniser les VICTIMES DES ALAS THERAPEUTIQUE ET

ARDEMMENT DEFENDUE PAR KOUCHNER( tiens encore un MENTEUR..)

 

Comment peut t'ont avoir confiance à ces type la...!

 

journal les Échos 17 avril 2001.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 12:22

                                                Hépatite C : les avancées en 1997.    A.F.P. Var-Matin

 

L' Association de défense des Victimes de la Transfusion Sanguine reçue au ministère de la Justice. Un espoir: accélérer

les dossiers d' indemnisation.

 

Identifié en 1989, pour la première fois grâce aux techniques de biologie moléculaire, le virus de l'hépatite C touche, en France, plus de 500.000 Victimes. Seule une minorité des Victimes atteints est dépistée et prise en charge. Vendredi dernier,

les représentants de l' association de défense des Victimes de la Transfusion Sanguine ont été reçus par le directeur de

Cabinet du ministre de la Justice, M. Toubon. A l'ordre du jour : la création d' un fonds d'indemnisation pour les Victimes,

comme il en existe aujourd'hui pour les Victimes contaminées par le S.I.D.A. Réponse négative, pour des raisons budgétaires,

mais quelques avancées ont été obtenues...

 

Maitre Emeric Guillermou, de Toulon, qui est venu plaider la cause des Victimes de Transfusion. Un dossier difficile, car, si

plusieurs arrêts sont déjà connus, le parcours du combattant pour réunir les preuves peut décourager la majorité des Victimes

° Il faut, explique M. Guillermou, prouver la Transfusion. Cette première étape n'est pas la plus simple, car les Victimes des

hôpitaux sont souvent absentes, ou détruites ou inutilisables. Il faut ensuite prouver la contamination, puis prouver encore le

lien de causalité entre la Transfusion et la Contamination....<

 

La notion de fond d'indemnisation n'a pas été retenue, pour des raison budgétaires: elle risquerait de créer une °inflation° 

demandes, or les Contaminations de masse ne sont pas terminées. Après le V.I.H., l'Hépatite C on commence à s'interroger à

propos du prions, l'avenir, dans ce domaine, est encore incertain, mais il est surtout inquiétant et écarte, du même coup, les

Victimes atteints d' Hépatite C d'une indemnisation forfaitaire...Le principe d'une aide juridictionnelle étendue à l'ensemble des

Victimes est, par contre, accepté sans critère de revenus.

 

L' avocat de l'association a également demandé une accélération du traitement des dossiers: six mois paraissent raisonna-

bles, au lieu des trois ou quatre années de procédures actuelles.

 

Enfin, quand les Centres de Transfusions sont en cessation de paiement ou que le plafond de l'assurance est déposé,

c'est l' État qui prendra la relève.

 

Dépistage cibler:

 

Toute les questions seront évoquées lors d'une assemblée générale de l'association qui se déroulera à Paris le 22 février,

sur le plan national. Localement, les Victimes qui souhaite avoir plus de renseignements peuvent s'adresser au délégué

régional de l'A.D.V.T.S., M° Christian Gaudry, qui tient une permanence chaque lundi de 9h à 11h, salle Gérard Philippe

à la Garde.

 

L' hépatite C reste une maladie invalidante et, depuis 1986, est assimilée aux maladies contagieuses comme la peste, la rage et le S.I.D.A. Pourtant, lors de la dernière conférence de consensus consacrée à l'hépatite C, qui s'est déroulé à

Paris en janvier 1997, le dépistage cibler a été préféré au dépistage de masse, les groupes à risque étant identifiés. La

Transfusion avant 1991 de produits sanguin ou de leurs dérivés et usage de drogue représentent les deux principaux

facteurs de contamination par le virus. Les infections nosocomiales présentent un risque important et pourraient être

responsables d'environ 15% des cas d' Hépatite C.

 

L' Hépatite C évolue dans 20% des cas vers la guérison, et dans 80% des cas vers la chronicité. La cirrhose et le cancer du foie sont les deux évolutions à redouter.

En 1995, constate M° Guillermou, le ministre de la Santé envisageait un fonds d'indemnisation pour les Victimes transfu-séés contaminées par  l'hépatite C. Aujourd'hui, on se heurte à un DESENGAGEMENT DU GOUVERNEMENT, PEUT-

ËTRE PARCE -QUE LES CONTAMINATIONS DE MASSE SE MULTIPLIENT....!

 

Ch. Gaudry.                                                                    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 13:20

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28 février 2011.                                                      15 novembre 1995.   A.F.P.

 

Bonjour.

 

Les douloureux mystères de l'hépatite C

 

Cette infection virale concerne plus de 500.000 Français. Que faut-il faire? Comment et pourquoi ?

 

L' affaire dite du° sang contaminé° a longtemps interdit en France que l'on puisse parler sereinement du problème majeur de

santé publique que représente la transmission, via les transfusions sanguines du virus de l'hépatite C. Les temps, fort heureusement change. On progresse dans le domaine épidémiologique grâce notamment a un remarquable travail conduit par un groupe de spécialistes dans lequel on compte de nombreux Tourangeaux, tous issus de l'école fondée par le regretté professeur Phlippe Maupas: les professeurs Alain Goudeau, chef du département de bactériologie- virologie (c.h.u. Bretonneau) Françis barin, spécialiste de virologie, Jacque Drucker, directeur du réseau national de santé publique et le

docteur Frédéric Dubois ( irsa de la Riche C.H.U .de Tours. 

 

L'infection et la maladie.--L'une des caractéristique les plus déroutantes de l' hépatite C est le fait que l'infection est presque

toujours sans symptôme apparent. ce n'est qu'au bout de plusieurs années que l'on peut découvrir, souvent de manière

fortuite, des anomalies du foie qui sont la conséquence, à distance de l'infection chronique de l'organisme par ce virus,

trés différent de ceux responsables des hépatites A et B. On estime généralement que la moitié des infections n'auront pas

de traduction pathologique. Les antres, en revanche, peuvent évoluer au fil du temps vers l'installation d'une cirrhose, et beaucoup plus rarement vers un cancer du foie. De nombreux travaux seront encore ici nécessaires pour véritablement

comprendre tous les aspects de l'histoire naturelle de cette maladie, à bien des égards mystérieuse.

 

Comment se contamine-t-on?-Jusqu'en 1990 date de la découverte d'un test de dépistage et de son utilisation systémati-

que chez les donneurs de sang, la transfusion sanguine fut la source principale et massive des contaminations. ce risque

a aujourd'hui considérablement diminué. On sait également que les toxicomanes ayant recours à des drogues intraveineu-

ses et partageant leur matériel d'injection sont eux aussi fréquemment infectés. On supposes par ailleurs que la transmission

sexuelle est relativement peu fréquente, sans toutefois pouvoir être en mesure de savoir s'il faut proposer des conseils

concrets de prévention (préservatifs) aux couples dont l'un des partenaires est infecté. Enfin, le rapport que vient de rédiger le réseau national de santé publique consacre une part importante aux risques de contamination dite < l'iatrogène< , c'est

à- dire à l'occasion de geste médicaux.

 

La transmission l'androgène dans certains lieux de soins et pour certaines manoeuvres invasives ( hémodialyse, endoscopie)

semble persister malgré les efforts d' asepsie. Dans ce domaine et en attendant de disposer de connaissances plus précises, l'application stricte des précautions universelles vis-à-vis du sang et des règles de stérilisation et de désinfection

du matériel d'exploitation doit être renforcée plus que jamais° peut-on lire dans ce document.

 

Combien?-- Ce rapport fournit pour la première fois une estimation documentée du nombre de personnes infectées en

France. Une telles estimation doit beaucoup au travail coordonné par le docteur Frédéric Dubois et mené auprès de perso-

nnes volontaires à un examen de santé gratuit de la Sécurité Sociale. Au total, 6.283 personnes âgées de 20 à 59 ans, ont

participé à cette étude. On a retrouvé chez elles 90 personnes séropositives, autant d'homme que de femme, ce diagnostic

étant ensuite confirmé dans 72 cas, les deux tiers des personnes concernées ignorant leur état. Ces données associées à

d'autres, obtenues chez les femmes enceintes ou dans les services hospitaliers spécialiste, laissent clairement penser que

la population française infectée par le virus de l'hépatite C, est comprise entre 500.000 et 650.000 VICTIMES. Et dans 60%

des cas, le virus semble continuer à être actif dans l'organisme, ce qui peut laisser craindre, à terme, l'apparition de graves

complications.

 

Traitement.-- On utilise depuis plusieurs années, dans le cas des hépatites C , dites chroniques, un traitement à base

d'interféron. Si dans certains cas, des améliorations peuvent être observées, rien ne permet de conclure que cette trés

coûteuse thérapeutique soit une panacées. On estime entre 3.500 et 5.000 le nombre de Victimes qui seront chaque années traitées par interféron sur les6.000 diagnostics qui seront faits annuellement.

 

Dans l'attente, fort de ces données, le ministère de la Santé Publique et de l' assurance maladie vient d'écrire à  l'ensemble

des médecins généralistes pour qu'il incitent leurs patients au dépistage. Il reste à chacun à savoir s'il souhaite ou non

connaître son état face a ce mystérieux virus.

 

Christian Gaudry. 04.89.79.65.57.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 14:41

 

 

 

 

numérisation0008numérisation0008-copie-1

 

 

 

Dimanche 27 février 2011.

 

Bonjour.

 

Souvenir d'une Association en 1990, Qui allais au devant des Victimes du Génocide à la seringue l 'hépatite NON A NON B

et qui n'avais pas peur de s'exprimer librement.

 

Depuis les Associations aujourd'hui es- bien c'est le silence, personne a informé à la presse qu'il étais impensable nous les

Victimes de payer le forfait journalier à l'hôpital après une transplantation, que suite d'avoir détruit les dossiers médicaux des

Victimes,les hôpitaux et cliniques ne se sente pas coupable, pour les Associations c'est normale, il ne faudrais surtout pas

faire des actions contre le Gouvernement pour leur dire que c'est avant tous eux les assassins de nombreuses VICTIMES DU

GENOCIDE NON A NON B AVANT 1989, il ne faudrais pas dire que dans certains pays il y a eu les GENOCIDE A  LA

KALACHNIKOF, et nous en FRANCE un GENOCIDE à la SERINGUE pour les VICTIMES TRANSFUSES avant 1989,il ne

faudrais pas dire au Gouvernement que les Victimes NON A NON B donc contaminé avant 1989 que c'est un crime contre

l'humanité, il ne faudrait pas dire aux Victimes de lire NUIT ET BROUILLARD, il ne faudrais pas dire aux ASSOCIATIONS de se

mobiliser pour que toute les Victimes à qui l'on a détruits les dossiers médicaux, qu'il leurs sera impossible d'être reconnue

comme Victime et qu'il seront jamais indemnisé. ces ce que nous faisions en 1991 pour le fond d'indemnisation.

 

Mais il y a eu kouchner (qui aurais du rester en Afrique comme médecin sans Frontière) qui sur son projet de loi sur la moder-

nisation du système de santé renforce les droits du malade et sur l'aléaa thérapeutique du 4 mars 2002 se posait en effet le

problème des milliers de Victimes contaminées par le Génocide des Seringues par Transfusions avant la mise en route de dépistage en 1990 en excluant les Victimes passées de l'hépatite C.

 

UN SCANDALE: explique christian Gaudry  délégué de l'Association A.D.V.T.S. qui  se bat depuis des années pour

que les Victimes touchées par l'hépatite C SOIENT RECONNUES COMME DES victimes, QUELLE QUE SOIT LA

DATE DE LA TRANSFUSION. Les Victimes qui ont été contaminés avant 1990 sont aujourd'hui ceux qui sont le plus avancés dans la contamination. Certains sont déjà en phase de fibrose et même de cirrhose et cancer. En leur refusant un fond  d'indemnisation, on les condamnee doublement. Ils devront entamer une procédure judiciaire,

passer devant un expert, produire des dossiers qui dans de nombreux cas n'existent plus, comme s'ils avaient été  détruits....Ces Victimes Contaminé,vivent dans la précarité depuis des années; ils sont fatigués, découragés, certains vont mourir. Cette discrimination est inacceptable !..

 

Au début de la semaine j'ai reçu des coups de téléphones  d'ancienne Victime de l'Association A.D.V.T.S. pour m'informer

qui n'allais pu avoir de traitement car ilse trouvais trop fatigué et surtout il se trouvais avec un score de F 4. Donc maintenant

il faut penser à la transplantation.

 

Je reviens à la loi de kouchner( il aurais du d'abord faire un fond d'indemnisation au cas par cas pour les Victimes contam-

minées, car la plus part des dossiers médicaux ont été détruits°PAR ORDRE DE QUI°!..donc introuvable, se qui a fait

l'affaire  du Gouvernement de Gauche de façon a indemniser le moins de Victime.          

 

 Vous voyaisc'est ça une Association, allais sur le terrain pour l'information, prendre rendais vous auprès des députés, au

Ministère de la santé, faire passer l'information par la presse faire des manifestations, faire des réunions de travaille et

boire un café.

                                                                                  

M° Gaudry Christian.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 14:57

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mardi 22 février 2011.

Bonjour.

 

Maintenant ça fait neuf années que le Gouvernement U.M.P. de droite fait la sourde oreille pour les Victimes du Génocide

non A non B de l'HEPATITE C.Ces personnages ont même pas de visage pour les milliers de Victimes déjà décédé dans

l'anonymat. Pour le Gouvernement responsable de se Génocide, pour lui c'est simple...! plus il y aura de Victimes décédé, moins il y aura de Victimes à indemniser. QU'ELLE HÖNTE et il continu à se regarder devant une glace.

 

Dans les pays ou il y a eu un Génocide à la kalachnikov, c'est assassins pour la plus part ont été jugé.

 

Mais pour le Génocide à la seringue, il y a personne de coupable

 

POURTANT DEPUIS 1990 NOUS SAVONS QUI SON LES RESPONSABLES DE MILLIERS DE MORTS, IL N'ONT MÊME PAS

LE COURAGE DE PARLER DES VICTIMES, DU GENOCIDE NON A NON B AVANT 1989- appeler HEPATITE C EN 1990. 

 

M° Gaudry.Christian.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 13:06

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Dimanche 20 février 2011.

 

Bonjour à tous.

 

Le 11 février 2011, j'ai eu le plaisir de parler sur l'antenne de Lemegalodon.net de l'hépatite C. Rendez vous sur ce site pour en

connaître la suite.

Au même moment suite à une émission de l'ancien Ministre de la santé socialiste Claude Evin un des responsable de se Génocide, raconte...

si vous désirais savoir, rendais vous sur le même site.

 

J'ai pu lire avec attention sur le site Survivre au S.I.D.A. (forum de discussion)  je suis surpris que les Victimes ne parle

que des traitements, comment il on pu avoirs l'hépatite C, comment il on réagis suite au traitement, des effets secondaires,

qui est très bien pour l'information. S.O.S.HEPATITES et toutes ces Associations qui désire allais dans la même voie .

Mais il y a pas que l'information, en 1992 j'étais délégué du département 83/ 13/ 06/ et je me rendais chez les Victimes qui le.

demandais, et en même tans nous parlions surtout de la reconnaissance de l'état et sur l'indemnisation.

 

En 1990 beaucoup de dossiers médicaux on disparue, à l'époque c'était les socialistes aux gouvernement

Beaucoup de Victimes n'ont pu faire reconnaître leur contamination donc pas indemnisable, malgré se qu'avais dit Jospin  en 2002 qu'il indemniserais toute les Victimes HEPATITE C  c'est donc un MENTEUR.

 

Le projet de loi présenté en Conseil des ministre le 8 octobre 2001 sur l'amélioration des droits du malade par kouchner sur

 l' indemnisation des Victimes d'aléas thérapeutiques- c'est à dire d'accident médicaux sans faute du professionnel de santé

 

Pourtant, cette avancée importante ne concerne pas toutes les Victimes de l'hépatite C, contaminées après une transfusion

sanguine. Le Gouvernement a accepté le principe du fonds d'indemnisation.....en excluant les VICTIMES CONTAMINES

AVANT LA MISE EN ROUTE DU TESTE DE DEPISTAGE DE 1990.

 

UN SCANDALE° explique Christian Gaudry délégué de l'Association de Défense des Victimes de la Transfusion sanguine, qui se bat depuis des année pour que les Victimes touchées par l'Hépatite C SOIENT RECONNUES COMME DES VICTIMES, QUELLE QUE SOIT LA DATE DE LA TRANSFUSION.

 

Les Victimes qui ont été contaminés avant 1990, sont aujourd'hui ceux qui sont le plus avancés dans la contamination.

 

Certains sont déjà en phase de fibrose et même de cirrhose, cancer et même transplanté. En leur refusant le fonds d'inde-

mnisation, on les condamne doublement. Ils devront entamer une procédure judiciaire, passer devant un expert,produire des

dossiers qui, dans de nombreux cas n'existent plus, COMME S'IL AVAIENT ETE DETRUITS....C'EST VICTIMES VIVENT DANS LA PRECARITE DEPUIS DES ANNEE; ILS SONT FATIGUES? DECOURAGES CERTAINS VONT MOURIR.

CETTE DISCRIMINATION EST INACCEPTABLE !!°

 

Les directeurs de Centre de Transfusion Sanguine???

Les ministres de la Santé de 1965 à 1989???

Les secrétaires d'état de la Santé????

je me demande s'il ont pris consiance qu'il sont avant tous des assassins.

 

En 1992 je pense que nous étions plus volontaires pour allez au devant de la vérité, voir les articles sur le blog, mais il n'est

pas trop tard pour réagir, pour faire reconnaître nos droits. Pensais aux Victimes à qui l'on a détruits leurs dossiers médicaux en 1990,( peut être en faite vous parti) et qu'ils ne pourrons pas faire reconnaître leur contamination. Et maintenant

claude Evin ancien ministre socialiste qui se permet de dire sur l'antenne Lemegalodon.net  ou en 1980 les hôpitaux et

cliniques ne gardais pas les dossiers médicaux, alors que les tribunaux avec des petits juges nous débouté par manque de

preuve sur le dossier médical.....!pour être indemnisé. La suite demain car je suis un peu fatigué.

 

M° Gaudry Christian

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 11:56

 

 

 

 

 

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mercredi 16 février 2011.

 

 

Comme plusieurs Victimes du Génocide de l'hépatite C NON A.NON B AVANT 1988. reconnue HEPATITE C EN 1988.

Le Gouvernement de gauche Jospin et le gouvernement de droite n'a jamais voulu reconnaître leurs responsabilités en a fait

un Gouvernement  ° ASSASIN.°.

 

 

 

 

Suite à un article du journal le point , on a la preuve de l'existence de l'hépatite C depuis cinquante ans au moins , et il est

vraisemblable  que le virus a évolué au cours de l'histoire depuis des siècles.

 

De nombreuses études nous permettent de cerner son évolution, de façon fiable. Ce qui n'était pas le cas pour le V.I.H.

 

D'où voici les Ministres d' Ëtat et secrétaire d' Ëtat responsable du GËNOCIDE et 5000  morts par ans .Honte à ces

responsable du Gouvernement.

 

GOUVERNEMENT MICHEL DEBRË. 8 janvier 1959 au 14 avril 1962.

 

Ministre de la Santé public et de la Population:                          Bernard  Chenot août changement de fonction le 24 aoüt 1961

Ministre de la Santé publique et de la Population:                      Joseph Fontanet.

 

Gouvernement GEORGES  POMPIDOU. (1) 14 avril 1962 au 28 novembre 1962.

 

Ministre de la Santé publique et de la Population:                        Joseph Fontanet.

 

Gouvernement Georges POMPIDOU. (2)

 

Ministre de la Santé publique et de la Population:                         Raymond Marcellin.

 

Gouvernement  Georges  POMPIDOU (3) 8 janvier 1966 au 1° avril 1967.

 

Ministre des  Affaires Sociales                                                       Jean-Marcel Jeanneney.

 

Gouvernement Georges POMPIDOU (4) 5 avril 1967 au 10 juillet 1968.

 

Ministre des Affaires Sociales                                                        Jean-Marcel Jeanneney (u.d.f.) 

 

Secretaire d' Ëtat aux Affaires Sociales---------------------------------Jacques Chirac (u.d.f)

 

Gouvernement Maurice COUVE DE MURVILLE. du 10 juillet 1968 au 16 juin 1969.

 

Secrétaire d' Ëtat aux Affaires Sociales: Pierre Dumas (u.d.r) et Yvon Bourges ( u.d.r.)

 

Gouvernement Jacques CHABAN DELMAS du 20 juin au 5 juillet 1972.

 

Ministre de la Santé Publique et de la Sécurité Sociale:                 Robert BOULIN (u.d.r.)

 

Secrétaire d' Ëtat auprès du ministre de la Santé et Sécurité sociale.Marie-Madeleine DIENESCH (u.d.r).

 

Gouvernement Pierre MESSMER (1) du 5 juillet 1972 au 28 mars 1973.

 

Ministre d' Ëtat des Affaires Sociales  Edgar FAURE (u.d.r.)

 

Secrétaire d' Ëtat auprès du ministre de la Santé------------------------Marie-Madeleine DIENESCH.

 

GOUVERNEMENT Pierre MESSMER (3) du 27 février 1974 au 27 mai 1974.

 

Ministre de la Santé                                                                       Michel  PONIATOWSKI (f.n.r.i).

 

Secrétaire d' Ëtat auprès du ministre de la santé---------------------Marie-Madeleine DIENESCH (u.d.r).

 

GOUVERNEMENT Jacques CHIRAC (1) du 27 mai 1974 au 25 août 1976.

 

Ministre de la Santé                                                                          Simone VEIL

 

Secrétaire d' Ëtat auprès du ministre de la santé-----------------------René LENOIR.

 

GOUVERNEMENT Raymond  BARRE (1) du 25 août 1976 au 29 mars 1977.

 

Ministre de la Santé                                                                            Simone Veil

 

Secrétaire d 'Ëtat auprès du ministre de la Santé------------------------René LENOIR

 

GOUVERNEMENT Raymond BARRE (2) du 29 mars 1977 au 31 mars 1978.

 

Ministre de la Santé                                                                           Simone VIEL

 

Secrétaire d'Ëtat auprès du ministre de la santé----------René LENOIR.--------Héléne Missoffe (r.p.r).

 

GOUVERNEMENT Raymond BARRE (3) du 3 avril 1978 au 13 mai 1981.

 

Ministre de la Santé                                                                             Simone VIEL.

 


Remaniement du 4 juillet 1979.

 

Ministre de la Santé                                                                              Jacques BARROT (u.d.f.-c.d.s.)

 

Remaniement du 2 octobre 1980.

 

Secrétaire d' Ëtat auprès du Ministre de la Santé--------------------------Remy Montagne.

 

GOUVERNEMENT Pierre MAUROY (1) du 21 mai 1981 au 22 juin 1981.

 

Ministre de la Santé                                                                              Edmond HERVË (ps).

 

GOUVERNEMENT Pierre MAUROY (2).

 

Ministre de la Santé                                                                             Jack Ralite (p.c.f)

 

GOUVERNEMENT Pierre MAUROY (3). du 22 mars au 17 juillet 1984.

 

Ministre des Affaires Sociales et de la Solidarité                                 Pierre Bérégovoy (ps)

 

Ministre délégué auprès du ministre des affaires Sociales                 Jack Ralite.

 

Secrétaire d' Ëtat auprès du ministre des Affaires sociales-------------Edmond Hervé (ps).

 

GOUVERNEMENT Laurent Fabius du 17 juillet 1984 au 20 mars 1986.

 

Ministre des affaires sociales et de la solidarité                                  Georgina Dufoix ( ps).

 

GOUVERNEMENT  Jacques CHIRAC du 20 mars 1986 au 10 mai 1988.

 

Ministre des Affaires Sociales et de l' emploi                                       Philippe Séguin ( r.p.r.)

 

Secrétaire d' Ëtat auprès du ministre des affaires sociales------Adrien Zeller (u.d.f.)------Jean Arthuis (u.d.f.).

 

Remaniements 25 mars 1986.

 

Ministre délégué auprès du ministre des Affaires sociales et de l'emploi

chargé de la Santé:                                                                                             Michéle Barzach.

 

GOUVERNEMENT Michel ROCARD (1) du 10 mai 1988 au 22 juin 1988.

 

Ministre des Affaires Sociales et de l'Emploi                                                  Michel Delebarre (ps)

 

Ministre délégué auprès du ministre des Affaires Sociales et la Santé          Claude Evin (ps)

 

GOUVERNEMENT Michel ROCARD (2) du 23 juin 1988 au 15 mai 1991.

 

Ministre de la Santé                                                                                           Claude Evin (ps)

 

Ministre délégué auprès du ministre de la Santé:        :Léon Schwartzenberg         Théo Braun.

 

Secrétaire d' Ëtat auprès du ministre de la Santé-------------------------------------------Héléne Dorlhac (u.d.f-c.d.s).

 

Remaniement du 2 octobre 1990.

 

Ministre délégué auprès du ministre de la Santé                                                       Bruno Durieux (u.d.f.-c.d.s.)

 

GOUVERNEMENT Ëdith Cresson du 15 mai 1991 au 2 avril 1992.

 

Ministre des Affaires Sociales                                                                       Jean-Louis Bianco (ps)

 

Ministre délégué auprès du ministre chargé de la Santé.                             Bruno Durieux

 

GOUVERNEMENT Pierre BËRËGOVOY DU 2 AVRIL 1992 AU 29 MARS 1993.

 

Ministre de la Santé                                                                                   Bernard Kouchner.

 

 

Je pense que vous comprendrais mon action, et maintenant il faut nous faire entendre, car il y en a marre que le

Gouvernement reste dans l'indifférence et que des VICTIMES décède tous les jours, faute à des personnes responsables

du gouvernement qui nous ont empoisonné.

 

 

Gaudry Christian

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                         

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 10:42

 

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La Garde le 9 Février 2011.

 

Bonjour. je viens vers vous, car je pense que maintenant il nous faut tous réagir nous les Victimes du Génocide de

 l 'Hépatite C  suite à des décisions politique, et au Gouvernement Assassin de gauche comme de droite.

 

Quand je relis le projet de la loi sur la modernisation du système de santé présenté en 2001 par kouchner en Conseil des ministres qui renforce les droit des malades, se posait en effet le problème des 600.000 Victimes, nous l'association A.D.V.H.

nous disons plusieurs millier de Victimes contaminé par le virus de l'hépatite C par TRANSFUSION, avant la mise en route du test de dépistage en 1990.

 

Le  gouvernement a finalement donné le feu vert....! en excluant les Victimes passées de   l' Hépatite C.

 

Le mardi 17 août 2001 le journal les échos °santé°: l 'Etat a décidé d'indemniser les Victimes d'accidents médicaux.

 

LIONNEL JOSPIN A TRANCHE sur le principe en acceptant que puissent être indemnisées à titre rétroactif, les

victimes de l' HEPATITE C , CONTAMINE ACCIDENTELLEMENT ...?

 

Encore une fois des mensonges du gouvernement socialiste, hontes à ces ministres qui de 1990 à 2001 étais d'accord pour

nous présentais un fond d'indemnisation, ceci document du ministère de la santé que je cannerais sur le prochain blog.

 

Il aurait été courageux que pour les Victimes de la Transfusion avant 2000, donc faisant parti des Victimes non a non b, que

le gouvernement indemnise en prenant compte les informations qu'on pu obtenir les Victimes en demandant le dossier

médical, ou même avec le peu d'information qu'il ont peu retrouver d'appliquer le fond d'indemnisation, et après faire la loi

sur la modernisation de la santé en 2001 par kouchner ( qui lui aurais du rester en Afrique)

 

En éffet vous l'avais lu sur le blog, sur le réglement des archives hospitalières. Tout document qui doit être détruit, l'on doit

en garder des souches ou des éléments. Alors encore une fois, je pose la question, de qui est venu l'ordre de détruire les dossiers médicaux en 1999, pour les Victimes du Génocide NON A. NON B. ce qui en a fait un gouvernement assasin.         

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 10:32

Articles R.666-12-11 et 666-12-13,R.7106261,R710-2-2,R.710-2-9 et R710-2-10 du code de la santé publique;

Circulaire DH/DGS/38/47/ du 15 janvier 1992 relative au suivi de la sécurité transfusionnelle entre les établissements de transfusion sanguine et les établissements de soins;

Circulaire DGS/DH.n°96-499 du 6 août 1996 relative à la conduite à tenir en cas de découverte d'une séroconversion ou d'une

sérologie positive chez un receveur de produits sanguins labiles ainsi qu'aux suite à donner aux demandes d'enquêtes des

établissements de transfusion sanguine sur le receveurs de produits sanguins labiles présentant un risque viral.

 

La présente circulaire a pour objet de rappeler aux établissements de santé, d'une part (Paris 1) et aux établissements de

transfusion sanguine, d'autre part (Paris11):

Les règles qu'ils sont tenus de respecter en matière de recueil et de conservation des informations relatives au transfusions

sanguinesainsi qu'en matière de communication de ces informations notamment dans le cadre d'action en responsabilité

engagées par des patients transfusés ou par leurs ayants droit;

La conduite à tenir en cas de défaut de recueil oud' archivage des informations demandées ou d'impossibilité de retrouver les donneurs concernés pour les transfusions en cause.

 

S' agissant d'un défaut d'archivage, la responsabilité d'un établissement pourrait être engagée s'il était un lien de

causalité directe entre, d'une part, l'absence de tout ou partie de ces informations, de même qu'une communiquation

incomplète ou hors du délai de deux mois prévu par la loi du 17 juillet 1978 et, d'autre part, l'existence d'un dommage,

d'une perte de chance pour le patient ou d'une privation de ses droits.

 

Nous vous demandons de bien vouloir prendre toute mesure d'organisation de nature à faciliter l'accès aux informations des patients transfusés qui atteints d'une maladie transmissible, engagent une action en responsabilité.

 

RECUEIL,CONSERVATION ET TRANSMISSION DES DONNEES TRANSFUSIONNELLES DES PATIENTS PAR LES

ETABLISSEMENTS DE SANTE.

 

Chaque établissement de santé est tenu de communiquer, dans les conditions (indiquées aux articles R,710-2-2 à 710-2-7 du

code de la santé publique, au patient qui en fait la demande, ou à ses ayants droit en cas de décès, par l'intermédiaire d'un

praticien désigné à cet effet par le ou les intéressés, les informations permettant:

 

                 --  d'établir si le patient a été ou non transfusé;

                 --  et s'il l'a été, d'identifier les unités de produits sanguins, labiles qui lui

                      on été administrées.

 

En outre, l'article R.710- 2-7-1, prévoit que tout patient auquel a été administré au cours de son hospitalisation, un produit

sanguin labile doit en être informé, systématiquement et par écrit. L' information doit être communiquée aux titulaires de

 l'autorité parentale pour les mineurs et pour les incapables, à la personne qui exerce la tutelle.

 

Règles relatives au recueil et à la conservation des dossiers médicaux et des données relatives aux transfusions ainsi qu'à

 l'accès des patients à ces données.

 

Le dossier médical de chaque patient hospitalisé dans un établisemant de santé public ou privé doit contenir notamment

la mention des actes transfusionnels pratiqués sur ce patient (art R.710- 2- 1 du code de la santé publique)

 

D'autre part, chaque établissement de santé public ou privé, est tenu de recueillir et conserver, pour chaque unité de produit

sanguin labile qui est distribuée, des informations relatives notamment à l' identification de cette unité et du patient auquel elle a été administrée (art° R.666-12-13). La directive technique n°2 de l'Agence française du sang du 8 décembre 1994 relative à la

traçabilité des produits sanguins labiles diffusée par la circulaire du 30 décembre 1994 sus-visée, fixe les modalités de ce

recueil. L'établisemant de santé établit et conserve;

 

Au sein des dossiers médicaux des patients: des exemplaires des fiches de distribution nominative des produits sanguins

labiles qui leur ont été administrés ainsi que des fiches transfusionnelles ou "dossiers transfusionnels"

 

Indépendamment des dossiers médicaux, et selon une procédure qui peut être centralisée ou non, l'information associant à chaque produit transfusé ( avec son numéro et sa nature) l' identité du receveur de ce produit et de l' établissement de

transfusion sanguine distributeur. Ce recueil et cette conservation spécifiques ont précisément pour objet de faciliter les

enquêtes ascendantes et descendantes sur les produits transfusés.

 

Antérieurement à la mise en oeuvre de ces dispositions, prise en application de la loi du 4 janvier 1993 relative à la sécurité

en matière de transfusion sanguine et de médicament, il était demandé aux établissements de santé d' établir et deconserver pour chaque patient transfusé une fiche transfusionnelle individuelle identifiant à l'aide de numéros les

produits sanguins administrés ( circulaires DGS / 359 /AS/1/2 du 30 juin 1980 relative à la prévention des accidents transfusionnels dgs / 38 /552 du 17 mai 1985 relative à la prévention des accidents transfusionnels et d' allo-immuni-

sation,  dgs /38 /142 du 2 octobre 1985 relative au dépistage et à l' information des donneurs de sang porteurs d'anticorps anti- VIH  et du 15 janvier 1992 relative au suivi de la sécurité entre les établissements de transfusion

sanguine et les établissements de soins ).

 

L' établissement de santé une fois la transfusion du produit sanguin réalisée, renvoie à l' établissement de transfusion sanguine un exemplaire de la fiche de distribution nominative dûment complétée (directive n°2 de l' agence française du sang

du 8 décembre 1994 précitée)

 

L' article R  710-2-9 (décret du 30 mars 1992) prévoit que:

Les établissements publics de santé et les établissements privés participant au service public hospitalier doivent conserver les dossiers médicaux conformément à la réglementation relative aux archives hospitalières fixée par l'arrête du 11 mars 1968;

Les établissements de santé privés ne participant pas à l' exécution du service public hospitalier conservent les dossiers

médicaux sous la responsabilité des médecins qui les ont constitues ou des médecins désignés à cet effet par le président

de la conférence médicale.

L' article R.710-2--10 ajoute que lorsqu'un établissement de santé privé ne participant pas à l'exécution du service public cesse ses activités, les dossiers médicaux peuvent faire l'objet d'un don a un service public d'archives.

 

Le dossier médical (y compris le cas échéant la fiche d' anesthésie, les feuilles de température et les fiches de prescription)

d'un patient qui a été hospitalisé doit être communiqué sur la demande du dit patient de son représentant légal ou de  ses ayants droits en cas de décès, par l'intermédiaire d'un praticien désigné à cet effet par les intéressés (art° R.710-2-2)

Le directeur de l'établisemant de santé veille à ce que toutes mesures soient prises pour assurer la communication du dossier médical (art. R. 770-2-7).

Les établissements de santé publics et privés sont donc tenus de s'organiser afin de permettre l' exercice effectif du droit

d' accès des patients transfusés, ou de leur ayants droit, à leur dossier médical et aux informations transfusionnelles qui

y sont contenues par l'intermédiaire du médecin de leur choix.

 

Lorsque le dossier médical demandé et particulièrement les données transfusionnelles ne sont pas disponibles (ARCHIVES DETRUITES, DOSSIER NON RETROUVE ,etc). L'établisemant de santé devra délivrer au demandeur un document écrit, signé et motivé, attestant de l' impossibilité de retrouver les informations demandées.

 

Par ailleurs, il convient que l'établisemant de santé interrogé lui-même le ou les établissements de transfusion sanguine

fournisseur(s) ou susceptible(s) des informations demandées, la fiche transfusionnelle ayant pu être conservée par l'établi-

semant de transfusion sanguine (cf.circulaire du 30 juin 1980)

 

R ECUEIL, CONSERVATION ET TRANSMISSION DES INFORMATIONS PAR LES ETABLISSEMENTS DE

TRANSFUSION SANGUINE.

Les établissements de transfusions sanguine sont tenus de recueillir et de conserver les informations permettant, à partir de

l'identification d'une unité de PSL transfusée, d'établir notamment le statut sérologie du don à l'origine du produit et de

convoquer le donneur dans le cadre d'une enquêtes transfusionnelle ascendante, ainsi que les informations relatives aux

enquêtes descendantes visant à retrouver les patients ayant reçu des produits sanguins labiles qui présentent un risque viral

vis-à-vis des hépatites B et C et des infections à VIH et à HTLV.

 

Règles relatives au recueil et à la conservation des informations permettant d'effectuer la traçabilité des produits sanguins

labiles.

 

Chaque établissement de transfusion sanguine est tenu de recueillir et de conserver, pour chaque unité de produit sanguin labile préparée par lui, notamment l'identification du don et du donneur dont est issue l'unité, l'identification de l'établissement

de santé destinataire de cette unité et l'identification du patient auquel elle a été administrée (art.R. 266-12-11) dès qu'il a reçu

 cette dernière information de l'établissement de santé.

 

L'arrête du 22 septembre 1993 homologuant le règlement de l'agence française du sang relatif aux bonnes pratiques de prélèvement prévoit l'attribution d'un code d'identification unique au donneur au sein d'un établissement de transfusion sanguine et le recueil de renseignements permettant de l'identifier notamment en vue de le convoquer pour des contrôles

biologiques complémentaires à l'occasion d'une enquête transfusionnelle ascendante ou descendante. Il prévoit également l'attribution d'un numéro de don enregistré sur la fiche de prélèvement.

La directive technique n° 2 de l'agence française du sang du 8 décembre 1994 relative à la traçabilité des produits sanguins

labiles transmise aux établissements de santé par la circulaire DGS / DH N -92 du 30 décembre 1994 précise que le produit transfusé au receveur doit être au préalable identifié à l'aide d'une codification harmonisée des informations figurant sur les

poches de produits sanguins labiles permettant de remonter au donneur.

Enfin, il est rappelé que la réglementation antérieure, prise pour l'application de la loi de 1952, prévoyait que les centres et

postes de transfusion sanguine étaient chargés de tenir à jour un fichier des donneurs de sang (article 14 du décret du 16

janvier 1954 relatif aux établissements de transfusion sanguine et à l'organisation générale de la transfusion). De plus, les

établissements de transfusion sanguine devaient, comme les établissements de santé, posséder des systèmes d'enregistrement des informations permettant de suivre un produit du donneur au receveur ( circulaires du 2 octobre 1985 et

du 15 janvier 1992 déjà citées).

 

L'ARCHIVAGE: L'arrêté du 4 août 1994 portant homologation du règlement de l'agence française du sang relatif aux bonnes pratiques de distribution et l'arrêté du 4 janvier 1995 portant homologation du règlement de l'Agence française du sang relatif

aux bonnes pratiques de qualification biologique du don prévoient que la durée de conservation des documents relatifs à la sécurité transfusionnelle et notamment le fichier des receveurs qui doit être OBLIGATOIREMENT TENU PAR L' ETABLISS-

EMENT DE TRANSFUSION SANGUINE EST DE QUARANTE ANS.

 

En cas de dépôt de bilan d'un établissement de transfusion sanguine ou lors de la constitution d'un groupement d'intérêt

publique, les archives de la structure anciennement gestionnaire, doivent être transférées à l'établissement qui reprend

l'activité exercée par l' établissement qui disparaît. Ce transfert est précisément indispensable pour permettre la conduite

des enquêtes transfusionnelles.

 

Ce transfert n'implique toutefois pas le transfert de la responsabilité des contentieux liés à l'activité transfusionnelle du premier

établissement; celui-ci demeure responsable des suites contentieuses éventuelles des transfusions des produits préparés et

distribués par lui.

 

CONDUITE A TENIR LORSQUE LES DONNEES DEMANDEES NE SONT PAS DISPONIBLES:

Il s'avère que les données recherchées ne sont pas toujours disponibles (ARCHIVES DETRUITES, IMPOSSIBILITE DE RETROUVER TOUS LES DONNEURS CONCERNE). Dans ce cas, l'établissement de transfusion sanguine devra délivrer

au demandeur un document écrit, daté, signé et motivé, attestant de l'impossibilité de retrouver les informations demandées.

Par ailleurs, il convient que l'établissement de transfusion sanguine interroge lui-même le ou les établissements de santé

concernés par les transfusions du malade afin de rechercher s'il(s) dispose(nt) des informations demandées, la fiche trans-

fusionnelle ayant pu être conservée par l'établissement de santé (cf circulaire du 30 juin 1980).

 

RESPECT DU PRINCIPE DE L'ANONYMAT.

L'article L.666-1 pose le principe de l'anonymat du don de sang et l'article L.666 -.7 précise qu'aucune information permettant

d'identifier à la fois celui qui a fait don de son sang et celui qui l'a reçu ne peut être divulguées.

Dans le cadre d'une procédure contentieuse, l'établissement de transfusion sanguine doit être en mesure de fournir à l'expert

médical désigné par le magistral instructeur les données non directement nominatives relatives au statut sérologie du don

transfusé et au statut sérologie du donneur. En aucun cas, l'identité du donneur ne doit être communiquée à ce stade.

Toutefois, il est précisé que dans l'hypothèse où la manifestation de la vérité imposerait que les données nominatives, identité

du donneur notamment,soient saisies, celles-ci doivent l'être dans le cadre d'une procédure de scellés fermé conformément

à la circulaire du 6 janvier 1995 adressé aux parquets par le garde des sceaux, afin d'assurer le respect du principe d'anonymat, ces données ne sont pas versées au dossier de l'instruction accessible aux parties mais sont confiées à l'expert

désigné par le juge en qualité de médecin soumis au secret professionnel. Cet expert, s'il en est expressément requis, dligente les examens qui lui apparaissent appropriés afin d'établir la rtocivité ou l'innocuité des produits en cause mais

l'identité des donneurs ne figure en aucun cas dans son rapport d'expertise.

 

Article 3. La Commission nationale des accidents sanitaires peut être saisie dans les deux mois de la constatation

du préjudice par:

-------tout malade ayant subi un préjudice anormal en raison d'un acte de soins, d'une intervention chirurgicale,     

         d'un traitement médical ou de l'usage d'un produit ou d'un matériel sanitaire;

         Tout professionnel de santé qui, ayant subi un préjudice dans l'exercice de ses fonctions, ne peut en obtenir

          la réparation au titre des dispositions relatives aux accidents de travail et aux maladies professionnelles.

         Cette saisine interrompt les délais de recours dont bénéficient les intéressés. 

 

Article 4. La Commission nationale des accidents sanitaires entend les parties en litige et se fait communiquer les

                pièces du dossier médical. Le secret médical ne lui est pas opposable.

                Afin de préciser les conditions dans lesquelles est survenu l'accident sanitaire, la commission peut  commettre un ou plusieurs experts choisis sur une liste de personnalités médicales qualifiées établie par décret,

et justifiant d'une compétence réelle dans la spécialité considérée.

                 Le ou les experts ainsi désignés remettent un rapport dans un délai de deux mois.

 

Article  5. La commission nationale des accidents sanitaires apprécie si l'accident résulte ou non d'un acte fautif.

 

Article  6. Lorsque l'accident sanitaire ne résulte pas d'un acte fautif, mais justifie une indemnisation de la victime,

la commission nationale des accidents sanitaires transmet le dossier de la personne qui l'a saisie au fonds d'indemnisation créé à l'article 8 dans un délai d'un mois, justifient une indemnisation au titre du présent article les

accidents sanitaires ayant entraîne des dommages d'une extrême gravité entraînant une incapacité permanente

partielle d'au moins 50 % .

 

Article  7. Lorsque au vu des rapports d'expertise visés à l'article 4, la commission estime que l'accident sanitaire résulte d'un acte fautif, celle-ci transmet le dossier dont elle a été saisie à la juridiction compétente. Elle peut

demander au fonds d'indemnisation créé à l'article 8 d'accorder à la personne victime ou à ses ayant droit une

indemnité provisionnelle.

 

LE FONDS D'INDEMNISATION DES ACCIDENTS SANITAIRES.

 

Article  8. Un fonds d'indemnisation des accidents sanitaires est créé. Il est doté de la personnalité moral et de l'autonomie financière. Il est dirigé par un conseil d'administration présidé par le président de la Commission

nationale des accidents sanitaires et composé dans des conditions fixées par décret ; de représentants d'associa-

tions de victimes ou de malades; de représentants des professions de santé du secteur public et du secteur privé;

de représentants des établissements de santé publics et privés; de représentants des industries de fabrication de

produits et de matériels sanitaires; de représentants des organismes d'assurance maladie; de représentants des

compagnies et mutuelles d'assurances; de magistras de l'ordre judiciaire et de l'ordre administratif.

 

merci de lire 04.89.79.65.57.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

             

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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  • : Christian.Gaudry
  • : brun, je donne de mon temps pour les autres,aimable,courtois,et je fais la cuisine, le repassage et le ménage. bisous..68 ans.
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